Titulaire d’un Doctorat en psychopathologie fondamentale délivré par l’Université Paris VII Denis Diderot, je suis psychologue clinicien et psychothérapeute d’orientation analytique depuis 2011; inscrit au Répertoire de l’Agence Régionale de la Santé (ARS), délégation de l’Essonne (n° ADELI 409301421).
Diplômé en 2010, j'exerce auprès d’adultes, mais également auprès d’enfants et d’adolescents. J'interviens également auprès des couples ; en consultation privée ainsi que dans différentes institutions médico-sociales. En présentiel comme en téléconsultation.
Je vous accompagne à partir d’une écoute bienveillante, strictement confidentielle et sans jugement, qui saura vous aider à éclaircir et apaiser ce qui fait conflit -- au plus près de la singularité de votre histoire.
Mon écoute est active : parler vous permettra d’identifier et de modifier progressivement ce qui fait symptôme en vous et dans la relation à l’autre.
Afin de faire évoluer ma pratique, je continue à me former par un travail de recherche, différents colloques et séminaires, ainsi qu'un suivi régulier de supervision me permettant d’assurer la neutralité bienveillante conforme à la déontologie propre aux psychologues cliniciens.
Le rôle du psychologue clinicien
Il faut savoir qu'il n'existe pas de bonnes ou de mauvaises raisons pour s’adresser à un psychologue clinicien. De la même façon que l'on prend rendez-vous avec un médecin pour apaiser une souffrance physiologique, on consulte un psychologue clinicien pour soulager un malaise d’ordre psychique -- qu'il soit émotionnel, relationnel ou affectif.
Tenu au secret professionnel, le psychologue clinicien est avant tout un professionnel spécialisé dans l'écoute et la relation d'aide, à même d'accueillir votre parole sans aucun jugement ni a priori. Il vous accompagne et vous soutient selon vos besoins, à votre rythme, sans vous diriger.
Le psychologue doit vous aider à trouver les réponses qui sont en vous, en vous procurant des outils de meilleure compréhension de vous-même et de ce qui vous entoure. Il ne doit pas devenir une béquille mais au contraire permettre à chacun de se libérer de ses entraves et prendre son envol vers une meilleure autonomie psychique.
Même si certaines affections somatiques peuvent se rapporter à des causes d’ordre psychologique (asthme, vertiges, psoriasis, céphalées…), les motifs de consultations sont généralement en lien avec une plainte d'ordre psychique, c'est-à-dire dans un rapport douloureux à soi-même ou aux autres.
Ces motifs de consultations peuvent être extrêmement divers mais chaque demande est nécessairement singulière ; elle se donne à entendre hors de toute saisie normative.
Le besoin de consulter peut-être lié à un événement traumatique ou à une situation personnelle éprouvante (séparation, deuil, maladie physique..) ou à tout mal-être dont on peine à définir les causes.
Le psychologue intervient auprès de patients qui rencontrent une difficulté ponctuelle, face à laquelle ceux-ci souhaitent mettre du sens et être accompagnés durant une période donnée, mais également auprès de sujets désirant mener un travail d'introspection afin d’élaborer des problématiques internes plus anciennes.
Il peut donc s’agir d’une demande aux contours bien définis comme d’un accompagnement pour un malaise plus diffus.
Parfois quelques entretiens suffisent à passer un cap difficile, d'autres fois le suivi nécessitera un peu plus de temps.
Le psychologue intervient également pour certains troubles de l’apprentissage (troubles de l'attention (TDAH, TDA), dyslexie, dyspraxie, mises en échec..), et plus globalement pour tout ce qui peut renvoyer au mal-être de l’enfant et de l’adolescent (TOCS, énurésie, hyperactivité, timidité, repli sur soi, harcèlement, anorexie..).
Ne cherchant pas à agir seulement sur le symptôme mais surtout sur la cause, son but est de vous accompagner vers un mieux-être en vous rendant autonome, au-delà des "béquilles chimiques" (psychotropes) de la pure réponse médicale.